Une tumeur est une masse plus ou moins volumineuse due à une multiplication anormale de cellules. Il existe un grand nombre de tumeurs du cerveau différentes. Les traitements proposés seront donc différents en fonction de la tumeur : chirurgie.
Un risque lié à l’hérédité (un risque familial ) existe pour deux types de tumeurs du cerveau, les neurinomes et les neurofibromes, qui représentent environ des tumeurs du cerveau. Une maladie génétique, la neurofibromatose, augmente également le risque de ce type de tumeur (mais pas des autres types de tumeur du cerveau).
Une tumeur quel que soit sa localisation, est formée par des cellules qui se multiplient de façon anarchique formant un amas. Une tumeur cérébrale peut se développer dans n’importe quelle zone du cerveau. Certaines de ces lésions sont non cancéreuses comme le méningiome ( tumeur développée au dépends des enveloppes du cerveau ou méninge). Les méningiomes sont d’évolution lente mais certains peuvent être plus agressifs malgré leur caractère non cancéreux.
Le neurinome est également une tumeur bénigne de l’enveloppe des nerfs. D’autres affections médicales peuvent causer les mêmes symptômes que la tumeur au cerveau ou à la moelle épinière. De plus, on distingue les tumeurs cérébrales primitives, des tumeurs secondaires qui sont des métastases de cancers ayant proliféré initialement hors du cerveau.
La dernière décennie a vu émerger de nombreuses innovations médicales qui ont permis d’améliorer le pronostic de ces cancers. On parle indifféremment de tumeurs cérébrales, de tumeurs du cerveau , de tumeurs intracrâniennes ou du système nerveux central (SNC) pour désigner les tumeurs qui se développent à l’intérieur du crâne. La chirurgie est le premier traitement envisagé pour les tumeurs du cerveau, quand celle-ci est possible. Les tumeurs du cerveau portent généralement le nom des cellules à partir. Un peu plus de la moitié des tumeurs du cerveau se développent à partir de ces cellules gliales et ce type de tumeur est appelé gliome.
Le gliome est donc la tumeur la plus fréquente. Ces symptômes ne sont pas spécifiques des tumeurs du cerveau et peuvent être dus à d’autres affections neurologiques : les examens diagnostiques permettent au médecin de les écarter avant de poser le diagnostic de tumeur cérébrale. Les symptômes des tumeurs de cerveau. Comme les tumeurs cérébrales se développent au sein d’une boîte fermée (le crâne), elles vont entraîner des signes en rapport avec la compression du cerveau et l’augmentation de la pression intracrânienne (hypertension intracrânienne).
Ce cancer naît des cellules gliales. Celles-ci sont dédiées à soutenir les neurones en éliminant les pathogènes dans le cerveau notamment. La Tumeur du cerveau est une croissance anormale de cellules à l’intérieur du crâne conduit à la compression et des dommages aux cellules cérébrales normales. Peut être bénigne ou malignes, et que les tumeurs malignes sont appelées cancer. Le pronostic des tumeurs malignes est moins bon, même si les traitements proposés sont de plus en plus performants.
Le neurochirurgien Hugues Duffau a révolutionné sa discipline en opérant des patients éveillés de leur tumeur au cerveau. Il a aussi démontré que la zone de Broca, historiquement dévolue.
Si une personne remarque des symptômes précoces d’une tumeur au cerveau , elle devrait consulter son médecin pour obtenir un diagnostic. Il représente de l’ensemble des tumeurs du cerveau. C’est une tumeur agressive, qui se développe rapidement et s’étend dans une ou plusieurs zones du cerveau en même temps. Les causes d’apparition d’une tumeur au cerveau sont peu connues et les facteurs de risques encore mal identifiés.
Est-ce qu’une tumeur cérébrale est forcément liée au cancer ? Toutes ne sont pas forcément des cancers du cerveau. Le méningiome — qui prend naissance dans les membranes entourant le cerveau et la moelle épinière — est le type de tumeur du système nerveux central le plus courant, avec cas par 100. Outre cerveau se tumeurs, des tumeurs originaires ailleurs dans le corps en raison de la métastase (propagation) vers le cerveau.
France (sur 1000). Les différents stades du cancer du poumon permettent de situer la gravité de la maladie. Dans tous les cas, ce sont les facteurs de risques qui augmentent la probabilité de tomber malade.
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